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C'est le dernier jour de 2011 !

Certes cela n'est pas une grande nouvelle...

Chacun et chacune a anticipé ce moment

et se prépare au réveillon

pour fêter la nouvelle année 2012 !

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Oui ! Il nous arrive parfois de nous réveiller ,

avec une belle journée vouée au brouillard...

De prendre une petite route

de s'arrêter pour saisir les arbres chargés

de beaux bouquets de gui …

Je resterai dans la tradition :

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« au gui l'an neuf ! »

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Je vous remercie chaleureusement

pour votre fidélité au blog

pour vos visites

et vos encourageants commentaires.

En ce dernier jour de l'année 2011

ne pouvant mettre cet article

dans toutes les communautés auxquelles je participe,

mon choix fut douloureux ...

J'ai opté pour celle ci,

car le sujet me semblait plus adapté ...

Ne soyez pas trop déçus

si je ne réponds pas systématiquement

à tous vos aimables messages

qui me font énormément plaisir.

Mais hélas mes tâches quotidiennes nombreuses

m'obligent à des choix parfois difficiles.

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Mes priorités restent et resteront :

* * * vous rendre visite sur votre blog ;

* * * et mettre à jour le mien.

 

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Premier sujet : portes dans le Tarn …

En fin d'année, c'est normal de rechercher

dans les archives, et de procéder au rangement.

On fait parfois d'étonnantes découvertes.

J'ai donc recyclé ces photographies égarées.

Second sujet : bancs & portes à Camarès 12...

En fer peint en vert,

ou fabriqué à l'aide d'une belle pierre,

les bancs sont placés au bord du chemin

pour accueillir le passant fatigué …

A Camarès on voit des portes utilisées.

Certaines sont bien closes...

Quant à cette dernière, elle paraît oubliée  de tous !

 

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Cette petite ville du Lauragais se situe

à une vingtaine de km de Toulouse.

L'aspect du clocher de son église,

de type mur fortifié ,

est celui de l'époque du pastel.

Ces vues ont été réalisées en fin de journée.

C'était juste avant le coucher du soleil.

La photographie de l'avant du train est floue;

il est passé à vive allure, et il m'a surpris !

Quant au soleil ! Il s'est endormi tranquillement,

emprisonné dans la clôture protectrice,

qui ferme l'accès à la voie ferrée.